Entre pénurie de médecins en zone rurale, relèvement du barème d'honoraires des médecins généralistes et polémique avec l'annonce puis le retrait de la mise en place d'un tirage au sort pour accéder au PACES, premiere année commune aux études de santé, à Paris, l'actualité d'un soufflé chaud et froid pour les élèves de terminal intéressés par une carrière médicale.
Pour autant, le nombre d'étudiants souhaitant intégrer la PACES sera comme chaque année encore élevé avec pour tous un premier objectif: passer le cap de cette première année que l'on sait hautement sélectif.
Numerus clausus et hécatombe de la première année
Instauré en 1971 pour permettre une régulation de la concurrence et mieux contrôler le volume des prescriptions médicales et donc des dépenses de santé, le numerus clausus (ou nombre fermé) pour la filière médicale est fixé depuis, et chaque année, lié par le ministère de l'Enseignement et de la Recherche et le Ministère de la Santé.
Au-delà de l'aspect budgétaire, le numerus clausus est fixé en fonction de la capacité d'accueil des établissements hospitaliers universitaires af in the garder un enseignement de qualité.
Ainsi pour 2016, il a été fixé à 7246 places pour l'ensemble du territoire, soit une augmentation de 2% par rapport à 2015 afin de répondre à l'appel des communes devant faire face à la désertification des soins de santé dans les départements les plus ruraux.
Si cette augmentation est une bonne nouvelle pour les prétendants aux études de médecine toujours plus nombreux chaque année, il ne faut pas oublier qu'à l'issue de la PACES, seuls 12 à 15% des étudiants inscrits parviennent à réussir l'examen donnant accès à la 2ème année du 1er cycle DFGSM (Diplôme de Formation Générale en Sciences Médicales); une véritable hécatombe qui s'explique par des examens et des critères de sélection toujours plus durs face à la demande et qui ne peuvent retenir que l'excellence.
La PACES, l'année sésame pour réussir Médecine
Première année commune regroupant les études de médecine, odontologie, pharmacie et maïeutique, la PACES est connue pour être une année d’épreuves continue à aboutir à l’expression «beaucoup d’appel mais peu d’élus» prend tout son sens.
8 unités d'enseignement, ou UE, réparties sur 2 semestres et des partiels sous forme de QCM (questionnaire à choix multiple) à l'issue de chaque semestre font de la PACES une année sous haute tension. Lors du premier semestre, les unités d'enseignement 1 à 4 sont l'occasion d'approfondir certaines matières abordées en terminale scientifique. Chimie et biochimie (UE 1), biologie cellulaire, hystologie et embryologie (UE 2), physique et biophysique, physiologie (UE 3), biomathématique, biostatistiques et probabilités (UE 4) font de ces premiers mois une véritable épreuve du feu pour les aspirants aux études de médecine.
Les cours sont particulièrement denses, de fait les UE 3 et 4 sont connus pour être les plus redoutées par les étudiants, et marquent une nete cassure avec le rythme du lycée, rythme qui ne faiblira lors du second semestre durant lequel seront abordés les premiers cours d'anatomie (UE 5), une initiation à la connaissance du médicament (UE 6), sciences humaines et sociales, santé publique (UE 7). L'UE 8 est, elle spécifique à la filière choisie et la matière qui y sera enseignée est très variable d'une université à l'autre.
Motivation et préparation, le duo gagnant
Face aux enjeux forts de la PACES, il est évident qu'une motivation sans faille est une base indispensable mais pas suffisante pour faire face au rythme intense des cours. Les retours d’expérience d’anciens doivent être fixés de se préparer à cette première année qui marque un tournant en matière de méthodes d’enseignement et d’apprentissage. Ainsi et même si l'année de terminal a déjà ses propres enjeux, son programme et les plages de vacances scolaires laissent néanmoins la place pour intégrer des classes préparatoires à la PACES. A la fois en parallèle et en complément des cours de terminal, une bonne classe préparatoire va permettre à l'étudiant d'acquérir une méthode de travail, des réflexes et des connaissances qui facilitent son intégration à la PACES et sa réussite finale lors du concours la fin d'année.
Créée en 2012, Antémed est une classe préparatoire dont le programme pédagogique réparti sur 132 heures de cours durant l'année de terminale offre aux étudiants souhaitant intégrer le PACES de multiplier leurs chances de réussite tant au baccalauréat que lors du concours final de la médecine. L'équipe d'enseignants propose des méthodes et outils de travail qui vont guider les étudiants vers plus d'efficacité dans leur apprentissage et de fait sur ses 3 premières promotions, Antémed affiche un résultat de 100% de réussite au Baccalauréat et une moyenne de 52% la réussite à l'examen final de la PACES pour les étudiants ayant suivi la classe préparatoire; pour rappel, le taux de réussite global au concours de la PACES est de 12 à 15%.
Bien sûr, une classe préparatoire à un coût et vous pouvez trouver sur le site Antémed le prix de cette prépa en médecine qui au-delà du baccalauréat et de la PACES offre à ses étudiants des outils qui seront utiles toutitair de leesur parcours comme professionnels.
Guillaume Briaud
Service Web Marketing
@Vamboisset Media
Partagez cet article
Populaires
Inscrivez-vous maintenant avec StudentJob
Voulez-vous être tenu au courant des derniers emplois pour les étudiants? Inscrivez-vous gratuitement sur StudentJob.
S'inscrire